19 jun 11

Las Vírgenes Negras de Chartres, otras Vírgenes Negras y el Sol Negro

Our Lady Underground at Notre Dame de Chartres

Laberinto de la catedral de Chartres, Francia.

Notre Dame du Pilier Notre Dame de Sous Terre

La catedral de Chartres es realmente conocida por dos estatuas de Vírgenes Negras. Notre Dame de Sous-Terre (Nuestra Señora de la Cripta) se encontró en el siglo VI, y es anterior a la construcción de la catedral de Chartres.
Algunos creen que la estatua era de origen druida y que representa a “La virgen que daría a luz un hijo” en ese culto.La estatua original se quemó durante la Revolución Francesa.La estatua actual es una reproducción que data de 1857.La estatua de Notre Dame du Pilier (Nuestra Señora del Pilar) data del siglo 13.La estatua actual sustituyó a la original en 1510 y está tallada en madera de peral.Se llama así porque está situado en uno de los pilares para una mejor visualización de los peregrinos que visitan Chartres.

Generalmente se admite que las Vírgenes Negras son la versión cristianizada de un culto antiguo, anterior al cristianismo, céltico o no , porque tal vez sea mucho más antiguo.En Francia se reverencia a más de 200 vírgenes negras.

Notre-Dame du Pilier, Chartres. En esta catedral se unen una vez más la divinidad femenina con el agua que cura, que mana de una fuente milagrosa…

Chartres, sans doute le lieu de rassembiement annuel des druides de la Celtie continentate dans la forét des Carnutes évoquée par César, possède la plus belle cathé-

drale gothique d’Occident, la «flêche inimitable» chantée par Péguy.

Située au milieu de l’immensité de la Beauce, elle fut construite sur le lieu d’un culte mégalithique, celtisé, puis - là encore - christianisé. Au XVlème siècle encore, les restes de ce culte étaient apparents, car la chronique rapporte le témoignage d’un fidèle disant avoir vu «un vestige des autels anciens des idoles»!



El suelo de piedra todavía lleva su piso antiguo laberinto (1205), se usan para caminar la contemplación de los monjes y todavía se utiliza para la meditación por los peregrinos.Sólo hay un camino por el laberinto y es 964 pies de largo.De acuerdo a John James, en el centro del laberinto había una placa de metal con figuras de Teseo, Ariadna y el Minotauro, las figuras del mito clásico del laberinto de Minos.
La circunferencia del laberinto es de 131 pies, casi exactamente el mismo tamaño que el de la vidriera de la Rosa del Oeste.Curiosamente, el laberinto es la misma distancia de la entrada oeste de la Rosa Oeste es desde el suelo - por lo que si la pared del oeste cayera hacia el interior, la rosa caería directamente en el laberinto.

Un puits celtique de 37 métres - la hauteur de la voûte de l’édifice - y fut découvert en 1903 et nommé le Puits-des-Forts, d’aprés un massacre de fidèles qui y furent jetés par les Normands (?)n. Une plaque l’y indique :

«Puits creusé avant l’ère chrétienne à l’intérieur de l’oppidum des Carnutes, associé dès longtemps au culte de la Vierge devant enfanter, enclos à l’époque gallo-romaine dans un monument dont les vestiges subsistent sous les fondations de la cathédrale, tombeau d’un grand nombre de Chartrains massacrés par les Normands en 858, célèbre au XIème et XIJème siècles sous le nom de Lieu-Fort par sa réputation miraculeuse, détruit et muré en l’an 1605».

'Catedral de Chartres'

Pozo mágico de la catedral de Chartres

Jusqu’au XV1I1ème siècle les pèlerins, après avoir prié, descendaient dans la crypte ou ils vénéraient une statue noire appelée Notre-Dame-de-Sous-Terre. La vierge

assise tenait un enfant dans ses bras (“en majesté”)n, symbole* de fertilité, à l’instar des grandes Déesses Mères*. Une inscription attestait qu’il s’agissait de la Vierge qui

doit enfanter (Virgo paritura).

Détruite en 1793, restaurée au XIXème siècle, la Vierge est vénérée depuis sous le nom de «Vierge au pilier». (comment ne pas penser au dolmen chronomètrique qui précéda la flèche…)

On retrouve ici encore l’association d’une divinite féminine avec la grotte et l’eau qui guérit, un complexe cultuel d’une lointaine antiquité.

La nature chtonienne de ces statues, exprimée par leur couleur, étant éclaircie, reste à expliquer pourquoi elles sont appelées vierges alors qu‘elles tiennent un enfant

dans les bras, symbole évident de maternité, donc de fertilité.

On touche ici au mythe* universel de la Mère virginale (brillamment décrit par

Claude Sterckx dans son ouvrage «Le mythe universel de la Mére virginale» paru aucentre unversitaire de Clarleroi en 1991).

Le bouddhisme orthodoxe, l’hindouisme védique, le zoroastrisme iranien, la mythologie ancienne-européenne (révélée par Marija Gimbutas), celle des Esquimaux,

des Polynésiens, des Tartares, des Toungouzes, des Kirghises de l’Asie centrahe, des Finnois, des Grecs, des Phrygiens, des Celtes, toutes ont incorporé ce mythème!

Intégré dans la religion judéo-chrétienne, il s‘y est fondu de manière si intime que la figure de la Vierge Marie y occupe une place essentielle… »» Petit extrait de :

Brasseur Marcel, Provence, terre de mythes et de légendes, Terre de Brume/ Poche.

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Vierges Noires Vivaroises :

Le Puy-en-Velay, Notre Dame du Puy
Andance, Vierge de Saint-Bosc
Cornas, Notre Dame de la Mure
Pont-de-Labeaume : Notre Dame de Nieigles
Sablières : Notre Dame de Sablières
Saint-Agrève : Notre Dame de Lestra

Autres vierges noires :

Vernouillet
Notre-Dame de Vauclair
Notre-Dame de Vassivière
Notre-Dame de la bonne mort à Clermont-Ferrand
Vierge de Coulandon
Taxat-Senat
Notre-Dame de Vernusse
Notre-Dame de Chalet
Besse en Chandesse
Notre-Dame de Rocamadour
Notre-Dame d’Orcival
Notre-Dame de Valfleury
Notre-Dame de la ronde de Chazeuil
Notre-Dame du Romigier
Notre-Dame de Montserrat
Sainte Foy de Conques
Notre-Dame de Saint Gervazy
Notre-Dame de Marsat

Vierges Noires - diaporama (lieuxsacres.canalblog)

Notre-Dame de Cléry à Cléry-Saint-André

Bajo diversas formas, a veces romanizadas, se adoraba en ellas a una divinidad femenina, una especie de diosa-madre, de tierra-madre, o más concretamente, a una Diosa-Tierra, Gea o Tellus, cuyo culto se pierde en la noche de los tiempos.

A veces una de las advocaciones que designaba su representación sobrevivió y permaneció asociada a la Vírgen Negra, como en Chartres o en Longpont, Virgo Paritura, la “Virgen que debe dar a luz”, una constante en numerosas religiones antiguas.

Su contenido es triple: popular y milagroso, cosmogónico y naturalista, espiritual y religioso, terapéutico y milagroso.

LA VIRGEN DE COLOR NEGRO


Este color es el que se utiliza simbólicamente para representar la tierra primitiva que, una vez fecundada, será fuente de toda vida…Diosa-Tierra implica color negro, piedra negra, Diosa Negra. Y la Diosa Sol Negro de mi novela:La Diosa de la vida y de la muerte.
Isis, Cibeles y Deméter fueron con frecuencia representadas como divinidades negras mientras que en Gran Bretaña se conoció una Black Annis. En Efeso, en el templo de Diana, una de las siete maravillas del mundo antiguo, se veneraba una estatua negra de la Gran Diosa, hermana del Apolo solar, y allí san Pablo llevó a vivir y morir a la Virgen María. Un lugar que en turco se denomina karatchalti, es decir, exactamente “la piedra negra”.

OTRAS VIRGENES NEGRAS

Notre-Dame-de-Vassivière, Puy de Dome, Francia

Notre Dame de Fourvière en Lyon.Se la representa con un león.

Conocida como la Reina de la región de Saboya de Francia, Notre Dame de Myans.Esta estatua fue mencionado en el antiguo un texto como “l’image de Notre-Dame, noire et ethiopienne ‘( la imagen de Nuestra Señora, negro y Etiopía).

Nuestra Señora de Marceille en Limoux


Nuestra Señora de Liesse, también conocida con el bello nombre de “Nuestra Señora Causa de nuestra alegría” , fue llevado a Soissons, Francia desde Egipto en 1143 por tres caballeros de Malta, que habían luchado en las cruzadas en Tierra Santa.

Catedral de Santa María en la ciudad de Auch, dedicada a la Virgen Negra.

Y aquí un recorrido virtual por el Coro y el Santuario:
http://www.gillesvidal.com/auch/index.htm

Aqui son curiosas las figuras talladas en madera de la sillería del coro,

Image

como las ventanas de Arnaud de Moles producidas entre 1507 y 1513.La clave de este misterio está en manos de la Sibila.En cada ventana muestra cuatro columnas de un patriarca, profeta, apóstol y una sibila.Cada Sibila lleva un objeto que es el vínculo clave entre los personajes de la ventana, aparentemente extraños entre sí.

En Provence, elles sont au nombre de neuf :

3 en Aix-en-Provence

1 - La première, la Vierge-Noire de la Seds, a disparu à une date inconnue. On l’a

remplacée par une statue polychrome.

2 - La seconde, bien noire celle-ci, siège en la cathédrale Saint-Sauveur. On l’appelle

Notre Dame de l’Espérance ! Datant de 1521, taillée dans la pierre, elle porte l’enfant

Jesus ; un chien – que d’aucuns ont assimilé au diable 1 – est couché à ses pieds.

3 - La troisième, Notre Dame de Grâce, se trouve dans l’église de la Madeleine. On

dit qu‘elle fut apportée d’Italie au XIllème siècle par Saint Bonaventure !


A Marseille, on compte aussi trois vierges noires :

1 - L’une d’entre elles, Notre Dame de Confession, dite «la Bonne Mère Noire», se

trouve dans l’église de l’abbaye Saint Victor. Taillée dans un bois creux, elle fut, dit-on,

sculptée par saint Luc lui même dans une racine de fenouil En fait il s‘agit de bois de

noyer, et la statue date du XllIème siècle. On l’appelait Notre Dame du Feu Nouveau

(feu nou) d’où la confusion avec le fenouil !

Son culte est associe à la Clandeleur. Vêtue de vert, elle présidait à la bénédiction des cierges, verts eux aussi, qui étaient censés préserver de la foudre. Les petits

gâteaux appelés «navettes» que les fidèles achetaient à la fin de la cérémonie sont sans

doute un rappel de la venue de Palestine de saints personnages de Marseille et

d’ailleurs, sur des barques poussées par un vent favorable (nous dit l’église* ! cf. avec

profit l’article Vierges Noires du site W <racines.traditions.free.fr>)n.

1

Chien-diable : n’est-ce pas là un portrait de Fenrir, le loup-dragon diluvien de la Mer du Nord ?

Les parenthèses (…)n seront aussi le fait de Racines & Traditions…

2 - Notre Dame de l’Huveaune, la deuxième Vierge-Noire de Marseille, se trouvait

jusqu’en 1850 dans une chapelle située à 1’embouchure de la rivière… On perd alors

sa trace.

3 - La troisième, Notre Dame de la Brune, trôna jusqu‘au XVlléme siècle dans la chapelle de Notre Dame de la Garde, construite sur l’emplacement d’un oratoire du

XIl1ème sièc1e, à l’endroit où, depuis des temps très anciens, une vigie scrutait la mer

et signalait 1’arrivée des pirates (mauresques)n. Elle fut détruite à la révolution!

http://racines.traditions.free.fr/deevino/vinoprov.pdf

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4.Notre Dame des Lumières , Maillane (Bouches du Rhône),

À Maillane (Bouches du Rhône), la statue de la Vierge-Noire, appelée Notre

Dame de Bétélem (Beth1éem) reléguée, vue son mauvais état de conservation, dans un

coin de la sacristie, retournait au culte en temps de sécheresse. On la promenait tout

autour de l’église en la priant de faire tomber la pluie ! (Nous voici donc devant une

parèdre de Thor)n. L’eau est ici associée à la Vierge-Noire, dispensatrice de fertilité.


5.La statue de la Vierge-Noire, appelée Notre Dame de Bétélem (Bethléem) Manosque,

À Manosque, Notre-Dame du Romigier, c’est-à-dire du Roncier, est la plus

ancienne de France. On la trouva grâce à des bœufs opportunément arrêtés au bout

d’un sillon, cachée dans un buisson. Disparue, on la red’couvrit quelques deux cents

ans plus tard dans… un sarcophage !

Les moines de Saint Victor la laissèrent en dehors

dc l’église, la jugeant trop laide pour y entrer. d’elle-même, dit-on, elle alla se placer sur

le maître autel. Vêtue à la romaine, elle porte une couronne mérovingienne. Ici, on

l’invoque pour faire venir la pluie en temps de sécheresse, une constante liée à des cultes très anciens.


6.Notre-Dame du Romigier, c’est-à-dire du Roncier , Marseille,

7.Notre Dame de Confession, dite “la Bonne Mère Noire” dans l’église de l’abbaye Saint Victor

8- Notre Dame de l’Huveaune -

9-Notre Dame de la Brune

À Goult en Luberon, Notre Dame des Lumières est aussi une Vierge-Noire.

Dès le IVème siècle, Goult avait un oratoire au hameau des Lumières, appelé Notre

Dame de Limergue. Une chapelle, Saint Michel de la Baume, s‘ytrouvait aussi mais

datée du XIème siècle, la légende raconte qu’en 1661, un vieil homme vit sortir des

ruines une procession de lumières partant de Saint Michel et se rendant à Notre Dame

de Limergue (vieux cortège païen qui subsistait et qu’il fallait “coloniser”)n.

Le prodige se renouvela plusieurs fois. Quelque temps plus tard, un berger decouvrit dans un buisson une statue de bois très sombre. Un pélerinage à la ViergeNoire fut alors institué (c’est précisément ce que nous venons d’écrire!)n. La statue

existe toujours et est encore aujourd’hui l’objet de dévotions.

On attribue à Notre Dame des Lumières un nom dérivé de la Limergue, Ia rivière qui coule à Goult. (Ne serait-ce pas plutôt à Lucina ou Mé(r)lucine la parèdre de

Lug/ Lumière, elle qu’on retrouve dans les Mélusines qui accompagnent habituellement les Vierges Noires sur les Chapiteaux, et que l’évêque de Lyon traduisit opportunément en Blandine pour effacer la Fête des Lumières de Lugdunon pour la Stela Maris de Lucien.

La présence de cette Vierge-Noire n’est pas étrangère aux vestiges d’un autel des Nymphes, près d’une source dans une grotte voisine.

Le culte des divinités païennes liées aux eaux qui surgissent est à l’origine de bien des cultes chrétiens. Nous aurons l’occasion d’en évoquer d’autres.

À propos de ces statues, des questions se posent, souvent débattues et depuis longtemps : la première est à l’évidence à propos de leur couleur !

Certains l’attribuent au vieillissement naturel de la matière ligneuse, d’autres aux fumées des cierges et de 1’encens qui les auraient imprégnées au cours des siècles. 11

est en effet impossible de déteminer la raison de la couleur noire des vierges, les vétements et ornements nombreux dont on les habille rendant toute analyse impossible et,

que dire des statues taillées dans la pierre!

Mais il existe une autre explication, métaphysique celle-là.

On se rappellera qu’au paléolithique supérieur, le groupe déléguait un «élu»,

choisi pour ses dons de désincarnation et d’ubiquité : le Chaman*, pour se rendre dans

l’Au-delà, c’est-à-dire au cœur de la Terre-Mére, et implorer celle-ci de donner à la

horde le gibier qui manquait. La couleur des vierges noires évoque irrésistibIement

cette Terre Mère, à l’origine des premières mamfestations religieuses perceptibles dans

«l’ART» pariéta1 franco-cantabrique.

Les madones noires sont donc les lointaines hypostases de la grande

Déesse Mère*, que les néolithiques, les peuples des mégalithes, les Indo-européens, la

Grèce et Rome ont vénérées au cours de très longs siècles, imitées ensuite par des religions de salut et la religion chrétienne à son tour, bon gré, maI gré !…

La nature chtonienne de ces statues est illustrée par la symbolique liée à la plus

célèbre d’entre-elles, la Vierge-Noire de Chartres.


Nuestra Señora de Czestochowa

Nuestra Señora de Czestochowa es también conocida como “La Virgen Negre de Jasna Gora” por el monasterio donde se guarda el icono de la Virgen Negra, en realidad una pintura no una estatua.

Se hizo famosa en todo el mundo por la veneración del Papa Juan Pablo II y con frecuencia figura en el reverso de sus medallas papales como una señal de su devoción por ella.Muchos milagros se han atribuido a esta imagen.

Su leyenda afirma que fue pintada originalmente en una mesa por San Lucas y llevada a Constantinopla por Santa Elena.La imagen fue llevada a Polonia en el 1500 por San Estanislao.

http://reviews.ebay.com/Black-Madonna-Medal-Collections-Vintage-Medals-Part-2_W0QQugidZ10000000001114163

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1 Comentario.

  • Manuel de Miguel Rios dice:

    Hola Dra. Vázquez

    Investigadores como Marija Gimbutas, en “The Civilization of the Goddess”, 1991, Harold Haarmaan, en “Early Civilization and Literacy in Europe”, 1995, y usted, en “Las Golondrinas de Tartessos”, 2008, nos desvelan la existencia de una antigua civilización europea que estableció un modelo cultural dos milenios antes de la irrupción de pueblos indoeuropeos, que terminarían desplazando a los antiguos pobladores del valle del Danubio hacia el sureste de Europa y las islas del Egeo.

    Cronológicamente, se observa una dualidad entre la Antigua Cultura del continente europeo y la más reciente Cultura Creto-Minoica y, como vínculo intermedio, la Cultura Cicládica, que no es casual que surgiera a partir de 3200 a.C.

    Y de entre las numerosas convergencias culturales cita aqui dos que, como diría Gimbutas, permanecen arraigadas en nuestra “psyche”:

    - La Diosa Madre:

    El centro de la vida religiosa de los pueblos pre-indoeuropeos fue la adoración a la Diosa Madre. La persistencia de esta Divinidad Femenina, estrechamente ligado a la fertilidad y el agua, fue una herencia de un remoto pasado, que se remontaría al final del Paleolítico Superior.

    Existieron diferentes rituales relacionados con la Divinidad Femenina, como los cultos a la vegetación y la fertilidad, así como la invocación de la lluvia. Variantes de estos cultos tuvieron continuidad en el mundo micénico y griego clásico.

    Las culturas regionales paleoeuropeas compartieron una característica común en espacio y tiempo: la representación de la Diosa Femenina, en diversas manifestaciones y formas (figuras votivas de apariencia humana o con aspecto de ave, con atributos esculpidos o pintados, que entroncan con la tradición minoica).

    - La espiral como símbolo de las aguas cósmicas:

    El motivo de la serpiente enroscada en conjunción con la espiral como su derivado abstracto está presente en el arte figurativo europeo desde el Neolítico hasta la Creta minoica, de dónde pasaría a la Grecia clásica. En algunas culturas regionales paleoeuropeas, la serpiente-espiral aparece como motivo decorativo principal en la cerámica (Butmir, en Bosnia, Cucuteni en el oeste de Ucrania, y en la región este de los Balcanes).

    Como atributo de la Diosa Madre-Diosa Serpiente, divinidad del agua, la espiral está asociada con la idea de las aguas cósmicas. Así, el motivo de la espiral simbolizaba la eternidad y el flujo constante de vida y, en relación con los cultos a la vegetación y la fertilidad, era también símbolo de la regeneración de la naturaleza en su ciclo anual.

    Y hay otras muchas “coincidencias” que dan pistas sobre una potente civilización en la Europa Calcolítica que no aparece en los libros de texto, que ya va siendo tiempo de revisar.

    Saludos cordiales

    Manuel de Miguel



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